II:1

"Il avait aussi changé d'aspect et de couleur, le soleil d'Islande, et il ouvrait cette nouvelle journée par un matin sinistre."

Poirier 51

"çà et là, dans les creux de lames, des voiles surgissaient, pauvres petites choses mouillées, fatiguées, fuyantes, -- mais tenant debout tout de même, comme ces jouets d'enfant en moelle de sureau que l'on couche en soufflant dessus, et qui toujours se redressent."

Rudaux 67

Cheffer 69

Poirier 56

"A midi, la Marie avait tout à fait pris son allure de mauvais temps; ses écoutilles fermées et ses voiles réduites."

Méheut 59

"Yann et Sylvestre étaient à la barre, attachés par la ceinture. Ils chantaient encore la chanson de Jean-François de Nantes ; grisés de mouvement et de vitesse, ils chantaient à pleine voix, riant de ne plus s'entendre au milieu de tout ce déchaînement de bruits, s'amusant à tourner la tête pour chanter contre le vent et perdre haleine."

Méheut 67

Chapman 74

Kaessner 75

"Oh! non, ça ne sentait pas le renfermé, pour sûr."

Durand 55

"Ils n'avaient pas peur, ayant la notion exacte de ce qui est maniable, ayant confiance dans la solidité de leur bateau, dans la force de leurs bras. Et aussi dans la protection de cette Vierge de faïence qui, depuis quanante années de voyages en Islande, avait dansé tant de fois cette mauvaise danse-là, toujours souriante entre ses bouquets de fausses fleurs"

Rudaux 76

"Ils restaient tous deux à la barre, attachés et se tenant ferme, vêtus de leurs cirages, qui étaient durs et luisants comme la peau des requins"

Bourgain en face de 368

Rudaux en face de 74

Gumery en face de 192

Coz 69