II:3

"A un carrefour, gardé par un de ces christs énormes, elle hésita entre deux chemins qui fuyaient entre des talus d'épines.
Une petite fille qui arrivait se trouva à point pour la tirer d'embarras:"

Rudaux 80

"Elle arriva à une chapelle, qu'on apercevait de loin sur une hauteur. C'était une chapelle toute grise, très petite et très vieille ; au milieu de l'aridité d'alentour, un bouquet d'arbres, gris aussi et déjà sans feuilles, lui faisait des cheveux, des cheveux jetés tous du même côté, comme par une main qu'on y aurait passée."

Rudaux 91

Dethomas 65

Poirier 61

Marwede 37

"Un petit mur croulant dessinait autour un enclos enfermant des croix. Et tout était de la même couleur, la chapelle, les arbres et les tombes ; le lieu tout entier semblait uniformément hâlé, rongé par le vent de la mer ; un même lichen grisâtre, avec ses taches d'un jaune pâle de soufre, couvrait les pierres, les branches noueuses, et les saints en granit qui se tenaient dans les niches du mur."

Cheffer 83

"Sur une de ces croix de bois, un nom était écrit en grosses lettres : Gaos. --Gaos, Joël, quatre-vingts ans."

Méheut 75

Marwede 38

"Afin de perdre un moment de plus, elle entra dire une prière sous ce porche antique, tout petit, usé, badigeonné de chaux blanche."

Gumery 167

"L'Islande, -- toujours l'Islande!"

Rudaux en face de 84

"Et là, le coeur plein de larmes qui voulaient tomber, elle s'agenouilla pour prier devant des saints et des saintes énormes, entourés de fleurs grossières, et qui touchaient la voûte avec leur tête."

Gumery en face de 216

Kaessner 85

"Elle reprit sa route et, après s'être informée dans le village, elle trouva la maison des Gaos, qui était adossée à une huate falaise"

Faivre 69

Marwede 40

"On était fort occupé dans la maison. Sur une grande table bien blanche, on taillait déjà à la pièce, dans du coton neuf, des costumes asppelés cirages, pour la prochaine saison d'Islande. . . . Plusieurs petits Gaos étaient là, garçons ou filles, tous frères d'Yann--sans compte deux grands qui naviguaient. Et, en plus, une bien petite blonde, triste et proprette, qui ne ressemblait pas aux autres.
'Une que nous avons adoptée l'an dernier, expliqua la mère."

Durand 2 en face de p. 64

Poirier 66