C'est moi.

Des Échantillons de Traduction

L'Originel en Français

La Traduction en Anglais

Dijon vous appelle gourmets...
Pour ce régal que nul ne tarde!
De vous l'offrir, on nous permet:
Cassis, pain d'épice, moutarde!
Dijon is calling all those who love good food...
Don't delay and savor
Let us offer you, if we please could:
Gingerbread, blackcurrant and mustard!
Le cassis, le pain d'épices et la moutarde sont réputés être "les trois glorieuses" gourmandises de Dijon.Blackcurrants, gingerbread and mustard are known worldwide as what the French call Dijon's "three magnificent" delicacies.

L'Originel en Français

La Traduction en Anglais

Avant d'être une série de films, Scream est un "concept," qui consiste pour l'essentiel à renvoyer au spectateur l'image de ce qu'il est en train de faire (consommer du cinéma de terreur). Ainsi, Scream montrait des ados repus de junk culture, érudits en cinéma gore. Scream 2 franchit un pallier supplémentaire dans la réflexivité: le film s'ouvre sur une file d'attente de spectateurs allant voir Stab, le film tiré des événements racontés dans le premier opus et dont les images sont celles de Scream avec d'autres comédiens. À partir de là, Scream 2 n'en finit pas de parler de lui-même, chaque personnage donnant son avis sur la nécessité de faire des suites, chaque situation théorisant les mécanismes de mise en scène de la peur, le mot de la fin étant même: "Je crois qu'on tient là de quoi faire un film super." Before it was a film series, Scream is a 'concept' that is essentially about showing the audience what they are doing at that moment (watching a horror film). Thus Scream shows teenagers satiated with junk culture, "scholars" of horror cinema. Scream 2 takes it to another level with its introspection. The film opens with a line of people waiting to see Stab, a film based on the events from the first opus, so its images are from Scream but with different actors. From that point on, Scream 2 does not stop talking about itself, each character giving his or her opinion on the necessity of making sequels, each situation theorizing on the logistics of the mise en scène of fear, the final words even being, "I think it'll make a great movie."